équipe

J’ai négligé la mise à jour du blog depuis notre réunion du 4 septembre à la Maison des Répits de Gaby. Je m’en confesse et me suis flagellé à plusieurs reprises avec une corde de bosse et me suis couché toute une nuit dans mon canot à -35 pour expier mes pêchés. J’avais quand même eu un ballon de pointe comme oreiller.

La réunion du 7 octobre, en campagne, chez Gérald et celle du 27 novembre, en direct du Plateau, chez Étienne, ont été des plus animées. Nous y avons d’ailleurs accueilli notre nouveau né, le représentant des forces de l’ordre du Nouveau Québec, le constable Jean-Pierre « Polycarpe » Simard. Comme disait Mathieu, « finalement quelqu’un mettra un peu de discipline dans ce groupe ».

La réunion chez Gérald était en fait une soirée Tupperware d’équipements d’expédition. Dans les moindres détails nous avons revu la liste d’équipements nécessairse à la bonne marche de ces 4 semaines d’expéditions: équipements de sécurité, de canots, de survie, de camping, de bouffe, de portage, de télécommunication… Le clou de la soirée : le nouveau prototype de tente moustiquaire développé par l’équipe d’ingénieurs de Gérald. En plus il travaille intensément à la conception d’un chapeau bécosse qu’il présentera prochainement au salon de l’innovation de St-Gérald de Magella (Étienne n’oublie pas les cerceaux pour Gérald).

Jean-Pierre tente d’obtenir l’autorisation d’apporter son arme de service, ce qui nous évitera de trimbaler un immense fusil de chasse dans le canot, comme lors de notre descente de la rivière George en 2005. Fallait chaque soir sortir la carabine, la charger et la placer dans le vestibule d’une tente, prête à servir en cas de visite inopportune de Yogi ou d’une autre bête entreprenante. Le seul désavantage d’apporter avec nous le pistolet de Jean-Pierre, c’est que nous devrons en tout temps le vouvoyer, l’appeler monsieur et lui éviter toute contrariété comme les portages ou la vaisselle.

Gérald continue ses démarches pour la commandite de nourriture, d’équipement de plein-air et de bars protéinées. Ce n’est pas facile en ces temps de réduction budgétaire mais Gérald a toujours l’argument pour convaincre le plus récalcitrant des jurés.

La réunion du 27 novembre était bien arrosée; nous sentions un air de Noël flotter sur le Plateau. Cette soirée était celle de Pierre-Marc et son menu. Impressionnant de détails, il a fait réviser notre menu par une diététicienne professionnel afin de corriger nos lacunes alimentaires, pour bien équilibrer nos repas. On aurait dit Ricardo mais barbu. Manger du poisson, du riz et des pâtes pendant 4 semaines ça manque de légumes, de fruits et de protéines. Alors fini Gérald les M&M et les bars « Mars » pour déjeuner; va falloir que tu ajoute du Quinoa, du couscous pis des tomates séchés à ton gruau.

Il a été convenu que Benoit contacterait le seul pourvoyeur sur la rivière qui pourrait nous dépanner en y transportant à mi-parcours un peu de nourriture, de l’essence pour l’âme et autres condiments d’appoints. Gérald et Benoit doivent tester la batterie et les capteurs solaires pour s’assurer que nos petits gadgets (laptop, caméra, Gps, téléphone satellitaire…) puissent se charger sans problème pendant le séjour. Benoit doit aussi contacter le transporteur maritime pour le retour du matériel. Finalement il a la charge d’obtenir un 2e téléphone satellitaire pour le transfert de data et des minutes de temps d’antenne.

Étienne et Benoit doivent s’occuper de transformer le blog pour commencer à y ajouter des commanditaires et du contenu.

Étienne commence à valider les vols, tarifs et itinéraire avec les différents transporteurs. Les prix ont assurément baissé depuis que le prix du pétrole a dégringolé de moitié depuis l’été dernier. Il faut aussi examiner la possibilité de s’associer à une compagnie privée qui fait de l’exploration de ressources naturelles dans le coin. Il contactera aussi un fabricant de matériel de canot pour commander un nouveau canot à prix fort compétitif pour Pierre-Marc et Jean-Pierre.

Mathieu de son coté organisera un veille médiatique pour connaitre l’intérêt des médias à nous offrir de la visibilité.

Finalement Jean-Pierre nous planifie une descente expérimentale, fin mai, dans le but de tester notre équipement, nos canots et l’esprit d’équipe en pleine période d’éclosion des insectes suceurs, en haut de St-Michel des Saints. Ce n’est que dans 4 mois. Après la rencontre de février, il ne nous restera que 2 ou 3 rencontres pour tout ficeler. Le dernier droit avant la grande virée.


Jean-Pierre, Étienne, Pierre-Marc Mathieu, Gérald et Benoit. Remarquez l’effet de brouillard tout aussi imaginatif qu’imprévu

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Après un été où nous avons tous «sous-mariné1» notre groupe s’est rassemblé pour une autre réunion enlevante, début septembre, Live depuis « La maison des Répits de Gaby», downtown Crabtree. Le groupe voulait voir ce que des levées de fonds comme la nôtre permettent de réaliser. De constater les résultats «de visu» motivent les troupes.

Malheureusement Claude qui avait remplacé Roger à pied levé, a dû décliner l’invitation de se joindre à nous pour des raisons professionnelles. Qu’à cela ne tienne, nous avons alors jeté notre dévolu sur un nouveau candidat dont nous devons taire le nom pour le moment, puisqu’il est en négociation serrée avec sa tendre moitié. Les vibrations sont bonnes, prions intensément St-Jude.

Suite à la réunion Étienne a travaillé fort et bien. Voici un compte rendu envoyé au groupe quelques jours après la rencontre . Vous remarquerez mes commentaires en rouge (ben oui faut toujours que je commente, c’est plus fort que moi…)

Voici la retranscription originale du message d’Étienne :

Bonjour gang,

Je suis en train de travailler sur le parcours pour la rivière aux Feuilles. Voici ce que ça donne. Ce qui complique, c’est les horaires d’avion. Mais voici d’abord les données.

_________ CARTE GOOGLE _________

J’ai fait une carte Google avec les principaux points sur la rivière:

Pour avoir une idée des paysages, voici des photos ajoutées par dessus la carte de Google:

_________ HORAIRE DE VOYAGE _________

Temps de descente de la rivière:

  1. Canot du lac Minto (km 292) à Tasiujaq (km 0) : 11 jours (détails à valider). BL : Ce qui fait 26km par jour, je pense que c’est réaliste
  2. Buffer de mauvais temps (hydravion qui ne peut décoller, trop de vent sur la rivière) : 2 jours
  3. Randonnée, pêche, congé : 4 jours
  4. Journée pour faire sécher le linge à Tasiujaq (si le matériel revient par bateau à l’automne) : 1 jour
  5. Buffer pour être sûr de ne pas rater l’avion du retour : 1 jour . BL : Ce qui fait 3 jours pour l’avion aller-retour. En fait on a seulement 1 jour de buffer d’avion ?

  1. Total de 19 jours de l’arrivée au lac Minto jusqu’au départ de Tasiujaq. Il faut ajouter le temps d’arriver au lac Minto (camion, hydravion) , plus le temps de revenir de Tasiujaq (Air Inuit ou autre).

Combien de jours de vacances a-t-on de disponible? Ca dépend…

  1. Par exemple : départ de Montréal le samedi matin11 juillet, retour à Montréal le samedi soir 1 août 2009. Total = 22 jours. Par contre, cela ne concorde pas facilement avec les horaires d’avion (voir plus bas).

  1. Autre exemple : départ de Montréal le samedi matin 11 juillet, retour à Montréal le mardi soir 4 août 2009 (à cause des horaires d’avoir). Total = 25 jours.

  1. A régler : combien de jours avez-vous de disponibles? Est-ce que 3 semaines et 2 jours est possible? BL : Pour moi c’est Ok. C’est un des voyages inoubliables de ma vie.

_________ OPTIONS POUR SE RENDRE AU LAC MINTO _________

Pour aller au lac Minto, on peut faire une combinaison de camion, vol commercial passager (Air Inuit / Air Creebec) et vol commercial freight. Chose certaine, ça va prendre un hydravion nolisé pour la dernière partie.

J’ai viré ça de tous les côtés, et il faudra peut-être faire preuve d’imagination pour trouver la meilleure solution. Entre autres, peut-être qu’en dépensant plus sur le vol commercial (ex. départ de Kujjuak!) on économiserait beaucoup sur l’hydravion??? En partant de Umiujaq (accessible par Air Inuit), la distance en hydravion serait deux fois moins longue qu’en partant de La Grande (Radisson).

Voici les points de départ possibles pour l’hydravion :

  1. Caniapiscau (Lac Pau?): camion, vol nolisé de Nolinor (en fait l’été c’est Air Saguenay qui offre le service)
  2. La Grande (Radisson) : camion, Air Inuit ou Air Creebec
  3. Kuujjuarapik (plus proche du lac Minto que La Grande) : Air Inuit
  4. Umiujaq‎ (encore plus proche du lac Minto que Kuujjuarapik) : Air Inuit
  5. Kuujjuaq : Air Inuit

À valider: comment rendre les canots jusque là? combien ça coûte? est-ce que c’est même possible?

Voici les options qu’on a pour l’aller:

  1. Camion (avec tout le monde) jusqu’au réservoir Caniapiscau, hydravion jusqu’au lac Minto. BL : Pas réaliste. Et infernal. On oublie ça, 20 heures de pick-up avec 6 grands (gros) gars. Juste le choix de la musique est un défi… Je sais je l’ai déjà fait.

  1. Avion (avec tout le monde) jusqu’au réservoir Caniapiscau (selon Leaf River Lodge, on peut y aller avec avion nolisé Nolinor, voir ) hydravion jusqu’au lac Minto. BL : Si je me souviens bien, Nolinor n’opère ce vol de 38 places que pendant la saison de la chasse au caribou qui commence le 12 août en 2009.

  1. Deux pagayeurs en camion jusqu’au réservoir Caniapiscau puis hydravion jusqu’au lac Minto, le reste du groupe en avion de Montréal à ? (La Grande? Kuujjuarapik? Umiujaq? Kujjuak? autre?) puis hydravion jusqu’au lac Minto. Donc le groupe est séparé et on se rejoint sur le lac Minto. Inconvénient : ça prends deux téléphones satellite. BL : Si le groupe est séparé et ne se rencontre pas en même temps, ça risque de créer un peu beaucoup de frustration. En plus qui conserve la bouffe, la trousse de premier soin, l’arme à feu, le GPS, les cartes etc…

  1. Deux pagayeurs en camion jusqu’à La Grande (Radisson), les autres les rejoignent par avion (Air Inuit ou Air Creebec), puis hydravion ensemble jusqu’au lac Minto. BL : C’est le scénario idéal, À La Grande il y a aussi NORDAIR (glenarsenault@hotmail.com) qui offre le service et la pourvoirie Mirage (lise.aubin@pourvoiriemirage.com) qui possède un hydravion assez puissant pour aller et revenir du Lac Minto sans refaire le plein (le modèle Turbo Otter, je pense, qui est assez rare). J’ai parlé aux 2 personnes au téléphone mais il faut les recontacter cet hiver pour avoir un prix ferme et réserver. Je pourrais faire revenir mon pickup dans la civilisation par mon fils. Faudrait le dédommager pour ses heures (20 heures aller-retour x $10.)

  1. Freight et avion (tous) jusqu’à La Grande (Radisson), puis hydravion ensemble jusqu’au lac Minto. BL : Ça aussi c’est pas pire. Ça dépend du prix et du risque (assez grand) de ne pas recevoir tous nos bagages. Je vous invite à relire les aventures des gars de Toronto en 1986 qui ont attendu leur bagage sur Air Inuit pendant 2 jours à Umiujaq… Assez triste.

  1. Freight et avion (tous) jusqu’à Kuujjuarapik, puis hydravion ensemble jusqu’au lac Minto. BL : Après avoir contacté le frère de Bernard Aubin à Umiujaq, il m’expliqua qu’il n’y a pas d’hydravion dans ces petits villages Inuit du fait qu’il n’y a aucune demande ni des canoteurs ou chasseurs puisqu’ils partent tous du sud i.e. de La Grande ou Caniapiscau.

  1. Freight et avion (tous) jusqu’à Umiujaq, puis hydravion ensemble jusqu’au lac Minto (est-ce que le freight est disponible pour Umiujaq?) BL : je te confirme qu’il n’y a pas d’hydravion dans ces villages, que des avions sur roues.

  1. Freight et avion (tous) jusqu’à Kuujjuaq, puis hydravion ensemble jusqu’au lac Minto. BL : après recherche il n’y a qu’un seul compagnie d’hydravion à Kujuaq et c’est un Inuit Johny May qui possède la pourvoirie en face de Pyramid Hill sur la George. Il possède lui aussi principalement des avions sur roues (souviens-toi de la piste en terre battue)…

_________ OPTIONS POUR REVENIR DE TASIUJAQ _________

Pour les canots, trois options:

  1. Retour par bateau. Le matériel lourd peut revenir par bateau et arriver à Montréal en automne. C’est l’option la plus économique. Par contre, il faut absolument se prévoir une journée de plus à Tasiujaq, et se payer une chambre d’hôtel, pour faire sécher le linge. BL : Pas besoin d’hôtel. On peut coucher dans l’église (chapelle) et sécher son stock (expé. des gars de Toronto). S’il pleut à l’extérieur, on est comme foutu. Il faut prier le Seigneur

  1. À vérifier : coût de retourner le matériel par avion à partir de Kuujjuaq? On pourrait peut-être noliser un hydravion (ou avion sur roue) de Tasiujaq à Kuujjuaq… BL : Selon moi, beaucoup de $$$$

  1. Retour en hydravion (ou avion sur roue) avec tout le matériel jusqu’au camion dans le sud. C’est l’option que plusieurs pagayeurs prennent. Avantage: on conserve notre matériel, et on économise une journée plus une chambre d’hôtel pour faire sécher le matériel. BL Mais laisser mon pick-up flambant neuf à La Grande ne m’excite pas beaucoup. Mais on pourrait négocier un parking à l’aéroport.

  1. Si on revient avec le plan prévu (les gars en avion avec Air Inuit, les canots par bateau), c’est seulement le mardi qu’on peut partir le matin de Tasiujaq et arriver à Montréal le soir-même. Toutes les autres options supposent une (ou plusieurs) nuits à Kuujjuaq (et l’hôtel doit y coûter très cher!) BL : je vote pour mardi et vol direct.

    1. Départ de Tasiujaq le lundi soir –> une nuit à Kuujjuaq –> mardi soir à Montréal
    2. Départ de Tasiujaq le mardi matin –> direct –> mardi soir à Montréal
    3. Départ de Tasiujaq le mercredi après-midi soir –> une nuit à Kuujjuaq –> jeudi soir à Montréal
    4. Départ de Tasiujaq le jeudi après-midi soir –> une nuit à Kuujjuaq –> vendredi soir à Montréal
    5. Départ de Tasiujaq le vendredi après-midi soir –> 3 nuits à Kuujjuaq –> lundi soir à Montréal
    6. Départ de Tasiujaq le samedi après-midi soir –> 2 nuits à Kuujjuaq –> lundi soir à Montréal
    7. Départ de Tasiujaq le dimanche après-midi soir –> une nuit à Kuujjuaq –> lundi soir à Montréal

Je devine que c’est pourquoi plusieurs groupes nolisent un hydravion pour revenir à leur camion laissé « dans le sud ».

____ À VÉRIFIER : HORAIRES DES AVIONS, PRIX DU FREIGHT ____

Avant de proposer un parcours final, il faut vérifier l’horaire des vols d’avion. Selon l’option retenue, il faut aussi vérifier les du freight.

Par exemple, ni Air Creebec ni Air Inuit semblent faire Montréal – La Grande le samedi. Aussi, avec Air Inuit, on pourrait arriver à La Grande le vendredi matin à 10h40, et donc prendre l’hydravion la journée même: on ferait Montréal – Lac Minto en une journée.

Si on utilise un service de freight d’Air Creebec ou d’Air Inuit, on pourrait peut-être se rendre à Kuujjuaraapik (ou même Umiujaq?), qui sont beaucoup plus proches du Lac Minto: on paierait peut-être notre hydravion moins cher, ce qui compenserait pour le billet d’avion plus cher?

BL: On m’a avisé que les horaires d’Air Inuit et Air Creebec peuvent changer au printemps. Faudra sans doute rajuster notre tir plus tard cet hiver..

BL : En passant, il y a aussi First Air qui offre un vol de Montreal –Kujuuaq, et c’est une filiale d’air Canda où on peut utiliser nos point Aéroplan pour payer, mais au gare au changement de date, c’est l’enfer avec les points…

BL : Va falloir nous diviser l’ouvrage à moins que tu t’offres comme volontaire. Moi je suis d’accord, Je te propose et te seconde aussi. Approuvé. Tu es vraiment le meilleur…

_______________ À RÉGLER _________________________

Combien de jours avez-vous de disponibles? (est-ce que 3 semaines et 2 jours est possible?) BL : 23 jours + 2 jours pour monter à La Grande ou Caniapiscau en pick-up ça fait 25 pour moi. C’est ok. En passant pour la George c’était aussi 25 jours (incluant le pick-up et le train à Sept-Iles).

Quel moyen prend-on pour se rendre au lac Minto? (quel est le coût réel des différentes options?) BL : Dès l’hiver faut faire des appels, confirmer les prix et les horaires.

Quel moyen prend-on pour revenir de Tasiujaq? (quel est le coût réel des différentes options?) BL : En effet…

Quand fait-on la prochaine réunion? BL : Après d’âpres négociations, la prochaine sera le mardi 7 octobre chez Maître Tremblay. Nous aurons sans doute l’honneur d’accueillir notre nouveau remplaçant.

Fâ ke cé sa kié sa! ;-)

_____________À FAIRE POUR LA PROCHAINE RÉUNION_________

Benoit : Voici mes notes prises lors de la dernière rencontre avec les choses à faire par responsable. Dorénavant à chaque réunion nous établirons la liste des choses à faire pour la réunion suivante.

J’y vais dans le désordre :

Gérald :

  1. Préparera sa fameuse tente moustiquaire (prototype no 637). Il nous en fera une démonstration. Moustiques optionnels.
  2. S’occupera de la conception d’un « Chapeau Bécosse », contenant un filet repliable « no-see hum » jusqu’à terre afin de faire nos besoins dans la tranquillité.
  3. Voir si IGA Crevier est ouvert à une commandite de bouffe
  4. Sera responsable de négocier une commandite de Sail à Boucherville. Voici ce que nous aurions besoin :
    1. Benoit : Dry suit, bottes de marche, GPS
    2. Mathieu : Sac de couchage, GPS
    3. Gérald : Dry Suit ?
    4. ?? Sacs de compression

Pierre-Marc :

  1. Menu et Bouffe. Suite à la perte de Claude, il reprend son trône.

Étienne

  1. Horaire + Transport par avion (passager et bagages)
  2. Contactera Esquif pour savoir si on peut s’acheter un nouveau Canyon (pour Pierre-Marc ?)

Benoit :

  1. S’occupera de la batterie et capteur solaire. Fera une démonstration à la prochaine réunion.
  2. Apportera le nouveau poêle qui chauffe avec de l’écorce et de la mousse, Juste pour voir.
  3. Contactera Kovac pour savoir si du bois est disponible en quantité sur la RAF
  4. Voir pour diffusion d’un documentaire
  5. Voir à diffusion du blog avec des commanditaires Internet.
  6. S’occupera de voir si nous pouvons obtenir un 2e téléphone satellitaire en commandite (pour blog)
  7. S’occupera de la commandite de temps de téléphone satellitaire (obligatoire)
  8. S’assurera de la venue du nouveau candidat.
  9. Verra à s’équiper d’un Pelican Case pour la carabine (cet item pourrait ne plus être nécessaire).

Mathieu :

  1. Verra à tout connaître de Jean Dupuis d’Air Inuit

Canots :

Benoit : Canyon – Esquif

Gérald : Explorer – Esquif

Pierre-Marc : Possibilité de s’équiper d’un nouveau Esquif

Voilà. Désolé si j’ai fait des erreurs mais j’ai retranscrit mes notes, illisibles entre 2 taches de sauce à pizza.

En passant si vous voulez voir la température actuelle sur la rivière aux feuilles, en temps réel, rendez-vous sur ce site excitant d’Environnement Canada. Aujourd’hui il a fait 0 degrés avec des rafales de vent de 46 km. J’ai hâte !

Benoit et Étienne.

Note 1: L’expression “Sous-mariner” est utilisé par les canoteurs lorsque qu’à la suite de la descente d’un rapide leur embarcation s’est complètement emplie d’eau sans pour autant chavirer. Il est toujours possible de manœuvrer l’embarcation mais avec précaution sinon c’est la fin des haricots.

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